Claude Mollet nous a quittés

Claude, tel qu’il restera dans l’esprit de ses proches et nombreux amis,tout particulièrement ceux du Club Tendresse dont il était un membre fidèle et assidu.

A l’aube de sa soixante-dixièmes année, Claude Mollet s’en est allé après s’être battu courageusement contre la maladie, épaulé par sa famille qui l’a entouré de toute son affection et sollicitude.

Claude a grandi à Bouvignies, rue Neuve, dans la maison familiale près de l’église où ses parents tenaient un magasin de chaussures. Claude a emprunté la même voie que son père et "faisait les marchés". Lève-tôt et travailleur, on le retrouvait avec son grand ami Paul Giraud, sur les marchés de Sin, Fenain, Seclin... A son stand, on ne s’ennuyait jamais, les plaisanteries fusaient, les anecdotes foisonnaient, le ton était bonhomme et l’humour roi.

Ce qui caractérisait Claude, c’était sa générosité, toujours prêt à rendre service, à aider son prochain, à offrir une tournée, à acheter les derniers billets de tombola qui ne trouvaient plus preneur. "Le cœur sur la main ! s’exclament ses amis Danièle et Joël Ovart, Claude prêtait même à fond perdu ! Pour Louise, notre petite fille, il avait toujours un petit cadeau !"

Claude avait repris à son compte la façon de vivre des anciens Bouvigniens, profitant de l’existence, amoureux de la liberté, sociable, enjoué, serviable, gai luron... mais avant tout c’était un homme au grand cœur.

À toute sa famille, nous présentons nos sincères condoléances et l’assurons de notre profonde et affectueuse sympathie.